« Nous ne savons pas ce qui se passera ensuite, mais nous savons que Dieu est de notre côté et nous ne serons pas vaincus. »
Vingt-huit chrétiens étaient rassemblés pour le culte le 31 janvier dernier à l’église de Harohalli, en Inde. Tous, y compris la fille du pasteur âgée de seulement 13 ans, ont été violemment battus par huit radicaux hindous, alors qu’une foule de trente autres bloquaient les chrétiens à l’intérieur de l’église.
Les hindous demandaient aux chrétiens de chanter « Jai Shri Ram », soit « Victoire au Seigneur Ram », une divinité hindou. Mais devant le refus des fidèles, la violence des hindous a éclaté.
Le pasteur Subhash Hanok, qui était autrefois hindou, a été « battu sans pitié sur tout le corps ». Sa fille, Sara, a été frappée à coups de pied. Mais Subhash se dit prêt à souffrir pour le Seigneur.
« J’ai consacré ma vie à mourir pour le Seigneur. Cela ne m’affecte pas. »
Selon Barnabas Fund, les assaillants n’ont pas été inculpés par la police et celle-ci aurait même fait pression sur le propriétaire des lieux où se rassemblent les chrétiens afin de les expulser.
L’un des chrétiens affirme, « nous ne savons pas ce qui se passera ensuite, mais nous savons que Dieu est de notre côté et nous ne serons pas vaincus ».
M.C.
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